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Le Rêve-Errance, Page 3

Fadaises et fariboles d’un rêve errant.

Premier verset : Palindrome

La vérité m’est apparue dans un battement d’ailes. Ses plumes m’ont lacéré avec tendresse tandis que les sanglots de mon épouse brisaient cette soudaine harmonie. […]Je me suis rendu compte que j’avais prévu ma mort mais qu’à aucun moment je n’avais prévu que j’allais mourir. La mémoire est sélective.

Mon coming-out par l'art

Il y a quelques mois, sur le site de têtu, j’ai lu un article concernant les premiers moments où l’on a pris …

Mon credo

J’ai embarqué un jour à bord du Rêve-errance, en quête de l’Île-où-les rois-se-reposent. J’ai pour seul phare l’Orpheo Mundi. Navigateur, ne crains pas …

Faites entrer l'Odyssée: 2ème partie

Et tu sais ce qu’ils ont fait ces enfoirés ? Ils m’ont planté l’œil ! Et ils se sont tous planqués ensuite ! T’imagines bien que j’étais pas d’humeur à jouer à cache-cache ! Je gueule tellement fort que mes voisins me demandent ce qui se passe. Moi, je dis que c’est Personne qui m’a fait ça puisque c’est le nom qu’il m’avait donné, et là, on voit qui sont les amis; je les retiens! Ils se foutent de ma gueule !

Faites entrer l'Odyssée: 1ère partie

Son histoire commence dans le palais de ce petit hameau d’Ithaque. Fils de Laërte et d’Anticlée, il vit une enfance sans histoire. C’est un gentil garçon sage, aimant ses parents. Mais déjà on le dit curieux, intelligent, rusé ; certains diront même, habité par le malin. Fantasme ou réalité d’une enfance heureuse ? Des rumeurs circulent, affirmant que le vieux Laërte ne serait pas le père du jeune prince ! Afin de tirer ceci au clair, nous avons retrouvé la mère d’Ulysse, quelque part, au fin fond des Hadès.

Révérend, je suis ton père!

Il faut quand même avoir un grain pour écrire sous le nom du « Révérend », vous ne croyez pas? C’est ce que je …

Un grand cri d'amour

On a tous des années de prédilection : pour moi, ce sont celles passés dans un institut de sondages célèbre. J’étais simple …

ECHOS…

Alors ne pleure pas
car je ne t’ai pas encore fait tout le mal que tu désires.
Ne gémis pas.
Tes lèvres gonflées d’émotion ne m’ont pas encore assez suppliées.
Ne souris pas.
Je n’ai pas encore vu la putain en toi se prélasser telle une sainte sous les caresses des pénitents,
tout comme je désire contempler la sainte en toi se lamenter de ne plus être une putain.

Bienvenue au café des liches!

Pauvre et frêle agonie, comme tu transpires, comme tu frémis. Viens, viens dans mes bras, épanche ton sang contre cette poitrine que j’offre à toi. Tu refuses? Alors reste là, assied-toi. Vertu s’est livrée à toi et toi, tu l’as satisfaire à hauteur de ce qu’elle demanda? Que désires tu maintenant? Moi? O, ne rougis pas, entre nous il ne saurait être question que de cela.