Keiko Lee, une flamme réconfortante

Il y a quelques mois, j’avais ouvert un sujet sur les génériques des manga. Ce sujet m’a permis de découvrir certains artistes inattendus comme l’envoutante Suilen. J’ai envie de vous parler d’une autre chanteuse découverte grâce à ce sujet. Il s’agit de Keiko Lee, une chanteuse de jazz japonaise.

keiko Lee, via son site officiel

Ses morceaux ont été repris aussi bien pour l’opening (générique de début) que pour l’ending (générique de fin) de l’anime « Requiem from the darkness » ou « Kyougoku Natsuhiko Kousetsu Hyaku Monogatari » en version originale (si vous voulez frimer dans les diners mondains).

Et dans le contexte télévisé:

Le premier morceau, the flame, me repose et me fait sourire, je me laisse facilement emporter par sa voix de velours. Je ne compte plus les fois où, cet hiver, j’ai écouté ce morceau en boucle pour me donner du courage et me réchauffer tandis que je jouais les danseuses sur glace avec la grâce d’un morse. Il est rare que j’apprécie une artiste de ce registre car je l’avoue, le jazz m’ennuie très vite…

Lorsqu’elle s’attaque à des standards, elle rajoute sa touche personnelle et nous fait partager sa joie et sa mélancolie:

Certaines reprises sont même surprenantes:

En tout cas, il est appréciable de voir qu’il existe autre chose dans la musique japonaise que des idols préformatées ou des chanteurs de rock inoffensifs. Bref, je suis amoureux ! Comment ça encore ?!

Les seules infos que j’ai pu trouvé concernant keiko Lee proviennent de cet article:

http://www.nautiljon.com/peopl…..o+lee.html

Si vous avez d’autres informations sur cette artiste, je suis preneur.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

%d blogueurs aiment cette page :