
Elle s’appellera Judith : les détails
Vous souvenez-vous du coup de Moïse et du buisson ardent ? C’est exactement ce qui est arrivé à notre héroïne malgré elle dans …
Vous souvenez-vous du coup de Moïse et du buisson ardent ? C’est exactement ce qui est arrivé à notre héroïne malgré elle dans …
Elle sentit la main de son mari se glisser dans la sienne, sans pression cette fois, avec une infinie douceur. Elle ouvrit un œil et vit son regard chargé d’émotions. Il lui disait quelque chose qu’elle n’entendait pas. Son cœur battait trop fort, de plus en plus fort, jusqu’à ce que son rythme soit remplacé par le battement d’un autre cœur, celui de leur enfant. Elle tourna avec angoisse la tête vers le moniteur.
Au-delà des références et des clins d’œil, on retrouve chez ces trois artistes un même fondement : un respect et un amour du corps quelle que soit son apparence. Fin, épais, lisse, cassé, chaque corps à droit au regard. Il érotise les corps, mais j’y trouve aussi une sacralisation à travers des décors mystiques.
Le titre du film présenté ici n’a aucun rapport avec les dérangeantes éruptions cutanées. Il n’y a rien de médical ici bien …
Cette nouvelle fait partie du recueil « Dentelles ». Celui-ci n’étant plus disponible, et avec l’accord de l’éditrice Carine Roucan, je publie ici ma …
Cela fait si longtemps que je ne t’ai pas écrit et j’ai beaucoup de choses à te raconter tant les changements dans ma vie ont été importants. Pour être plus parlant, je joins quelques photos à cette carte postale.
Le credo de cet écrivain est « oui au compromis, non à la compromission », ce qui peut être antinomique au vu du titre de cet article. Il ne fait aucun compromis, il ne transige pas pour plaire au plus grand nombre et c’est là autant sa force que sa faiblesse.
J’ai été soumis à la tentation, sachant qu’il n’est pas dans ma nature d’y résister ; si l’une de mes nouvelles figure dans un recueil, pourquoi n’essaierais-je pas de publier mes autres écrits ?
Mes salutations rêveuses et rêveurs, Nous y sommes ; 365 jours viennent de passer depuis l’ouverture du réseau Orpheo Mundi. Mais ce n’est …
« Pourquoi il ne me tue pas ? » est la question que doivent se poser régulièrement les joueurs s’ils veulent survivre. Cette question, le maître de jeu doit aussi et surtout se la poser au moment de créer un antagoniste pour ses joueurs. Ces derniers ne sont pas les maîtres du monde. Ils auront sur leurs routes des opposants plus ou moins féroces.